Comment gérer le stress au quotidien ?
9 octobre 2024Comment retrouver ma vitalité et ma sérénité au quotidien ?
31 octobre 2024Est-ce que, parfois, vous aussi vous vous sentez incapable de vous arrêter, de ralentir ce rythme effréné qui semble s'imposer ?
Je connais bien ce sentiment.
Ces moments où l’on se retrouve pris dans un tourbillon, emporté par l’élan de la vie, et où l’idée même de s'arrêter paraît impossible.
Je crois qu’on en a tous besoin, quelque part, de cette dynamique qui nous pousse en avant. Elle nous apporte ce petit "plus" pour accomplir ce qui a besoin de l’être, que ce soit des projets passionnants ou les petites choses du quotidien. Cette énergie, je la ressens comme un moteur qui me propulse, qui me donne envie de foncer, d’entreprendre, de donner le meilleur de moi-même. C’est presque vital, ce carburant qui nous permet de nous lever le matin avec l’idée de faire quelque chose de notre journée.
Mais parfois, j'ai l'impression que ça dérape. Sans que je le remarque, cette énergie se transforme en quelque chose de plus lourd, presque oppressant. C’est comme si le moteur s'emballait et que je ne pouvais plus le maîtriser. À ce stade, ce qui était un élan positif devient une force qui me dépasse, et au lieu de me porter, elle finit par m'épuiser.
Au fil du temps, j’apprends, petit à petit à écouter ces signes. À comprendre quand cette énergie devient trop forte, quand elle ne me fait plus de bien.
Trouver cet équilibre n'est pas simple, mais c’est essentiel pour moi. Savoir quand ralentir, prendre le temps de souffler, c'est devient alors un moyen de me préserver, de ne pas me perdre dans ce tourbillon.
Ça vous dit d'allez plus loin ?Dans la conférence vous allez :
- Comprendre la mécanique du Burn out et ses conséquences
- Découvrir ses signes, où vous en êtes du processus
- Envisager des pistes afin d'éviter d'aller ou de retourner dans le mur
- … dans le but de transformer le risque de burn-out en opportunité de développement personnel
Plus que des mots, découvrez l'interview de Anne, juste en dessous.
- Baptiste Keyaert -